Découvrez l’interview de Thomas, business developer chez QUASAR. Il nous raconte son quotidien et nous fait part de son expérience.
En quoi consiste ton travail ? Quelles sont tes priorités au quotidien ?
Je suis business developer, je dois trouver de nouveaux projets / nouveaux clients. Les actions qu’on peut réaliser sont multiples, ça va de :
- l’entretien des prospects, c’est-à-dire, le suivi des relances des prospects en cours ;
- la démonstration des solutions ;
- la présentation commerciale de nos solutions auprès des nouveaux prospects ;
- entretenir les liens avec les clients ;
- il y a également tout un travail de réponses aux appels d’offre qui nous sont transmis ;
- et un élément important, remonter aux équipes techniques tous les besoins qu’on identifie sur le terrain.
Quelles sont les spécificités d’un commercial dans le secteur industriel ?
Il faut connaître le fonctionnement d’une société industrielle et plus particulièrement d’un atelier industriel. Dans notre activité nous sommes sur des cycles de vente longs, entre 6 et 18 mois, donc ce qui est très important c’est d’arriver à créer et à maintenir une relation avec le prospect pour gagner sa confiance et c’est ce qui nous fera gagner l’affaire in fine.
Que préfères-tu dans ton travail ?
Les projets rencontrés ! Je parle des besoins clients, des secteurs d’activité des clients qui peuvent être dans tous secteurs. Je parle également de la diversité des personnes que l’on rencontre sur ces projets, ça peut être un responsable de production, un responsable informatique, tout type de contact finalement, avec des personnalités complètement différentes. Il y a toute cette adaptation dont on a besoin pour s’adapter aux différentes personnes et c’est très enrichissant.
Comment évalues-tu le marché du MES ? Vois-tu des évolutions sur ce marché depuis plusieurs années ?
C’est un marché très dynamique et porteur. Il est en pleine expansion ces dernières années. Il y a beaucoup de nouveaux acteurs qui arrivent sur le marché. On remarque, ces derniers temps, des rachats de solutions d’éditeur MES par des acteurs qui viennent par exemple du milieu de l’ERP.
Un mot pour la fin ?
« L’homme à deux oreilles et une seule langue, c’est pour écouter deux fois plus qu’il ne parle ».
